Indie-pop, dream-pop, shoegaze… Les adjectifs pour nommer la musique de ce groupe américain ne manquent pas. Et tant mieux. Voici Letting Up Despite Great Faults. Une jolie découverte entre new-wave, pop et électro.
Letting Up Despite Great Faults
Dans l’océan infini de la musique indie, « Letting Up Despite Great Faults » émerge comme une vague de douceur et de mélancolie. Ce groupe américain, maître de l’indie pop shoegaze (même si je ne maitrise pas trop ce terme-là), tisse des mélodies aériennes avec une délicatesse presque palpable.
Leurs chansons, véritables cocons de synthés et de guitares, nous transportent dans un univers où chaque note semble flotter, suspendue dans le temps.
Réédition de leur album éponyme
Apparemment la sortie de cet album, il y a 15 ans, avait fait forte impression. Perso j’étais passé totalement à côté.
En tout cas c’est un disque assez plaisant où effectivement de nombreuses références et influences se côtoient gentiment, courtoisement.
Entre pop et new-wave se mêlent des tintes d’électroniques avec des synthés parfois brumeux, parfois adolescentes.
Si la musique est globalement un peu naïve, la troisième écoute de l’album ne semble pas altérer la joie de partager ses moments de souvenirs enfantins. C’est donc plutôt bon signe.
On garde ça dans la collec’.
A vous de voir maintenant.
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Luberon Good Vibes, FR
